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Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」

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MessageSujet: Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 EmptyLun 18 Avr - 18:09



Les ferrets de la Reine.

Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 4vfqky Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 Aavz7p
« It is the queen of heart that has made ​​stealing
his precious studs and is the hatter who just give them to him. »
Assise à son bureau, le visage empreint de sérieux, elle avait entre ses mains des informations sur les gangs. Sauf que celles-ci étaient totalement incomplètes. La jeune femme soupira bruyamment, posant la feuille sur la table, elle enleva d'un geste lassent ses lunettes, passant ses mains sur son visage, se massant. Comment expliquer quand on travaille, mais qu'on ne ne pas envie ? Poussif. Oui, elle se poussait vraiment à terminer cette pile de feuilles pour terminer son dossier dans des plus brefs délais. Ces derniers temps, elle n'avait pas arrêté de demander des délais, essayant de se rattraper. Sauf qu'à chaque fois, le temps de retard augmentait. D'après le document qu'elle venait de lâcher d'un geste ennuyé sur la table, il y aurait un hangar dans lequel l'un des gangs stock des armes. Cassiopée se mordit les lèvres, c'était complètement dénudé d'intérêt, incomplet. À la limite, c'était presque une hypothèse, une supposition qu'on avait étalée sur quatre pages juste pour l'emmerder, à la limite. Bon. Elle avait encore deux jours, et elle stagnait complètement sur des informations capitales. La jeune femme parut exaspérée quelques instants, avant qu'elle ne se lève pour atteindre un petit meuble aux tiroirs multiples. Elle ouvrit le premier tiroir, plongeant sa main dans le fouillis incontestable. Elle en fit plusieurs comme ça, sans rien trouver. Tombant sur un carnet, elle prit celui-ci entre ses dents, sa main droite et gauche étant occupés à essayer de faire à nouveau rentrer les innombrables feuilles et documents. C'était un petit répertoire à la couverture en cuir noir, la fine côte des pages dorés, un papier légèrement jauni et des écritures un peu partout. Posant son doigt sur les lettres I et J, elle chercha le nom de journalistes, d'informateurs, pouvant l'aider. Saisissant son téléphone, elle se mit à appeler.

N'importe qui, même le plus incompétent, qu'il lui donne ce qu'elle voulait, elle enverrait un chèque par la poste ou une bouteille de cognac. Fallait savoir entretenir ses relations, pour ne pas faire remarquer qu'elle ne les appellent que lorsqu'elle a besoin de leur aide. Un comportement un peu hautain, c'est sûr. Puis elle tomba sur un nom intéressant. Caesar T. Cross. Ce nom lui disait quelque chose. Il fallait avouer qu'elle avait parfois du mal à retenir tous les noms de personnes se trouvant dans son répertoire. Quelques secondes plus tard, ce fut le déclic. Elle avait déjà travaillé avec lui, il fallait avouer qu'il était un bon journaliste, aux informations sûres. Tapant son numéro, elle tomba sur une voix féminine, suave. Secrétaire. C'est vrai que cet homme d'affaire n'aimait pas que l'argent, il y eût aussi les femmes. Cassiopée se présenta en bonne et due forme, demandant un rendez-vous rapide. Et puisqu'elle pouvait profitait quelque peu de son rang, elle sollicita une venue à domicile. En réalité c'était surtout par flemme qu'elle demandait cela, même si quelque part, elle se sentait légèrement gênée d'en profiter autant.

Raccrochant, elle jeta son portable sur la pile de feuilles, commençant à classer celles-ci. La jeune femme n'avait aucun problème à se retrouver dans son propre bazar, mais c'était tout de même plus coton pour les autres. Et si elle voulait que ce rendez-vous soit utile et efficace, elle devait bien évidemment mettre les chances de son côté. Elle remarqua par contre bien vite, qu'elle ressemblait à une clocharde. Les jours où elle restait chez elle pour bosser, elle passait de jeune femme à chose non identifiée. Cheveux en bataille, vieux pull trop grand tricoter par grand-mère, pantoufles avec un trou au bout, son gros orteil dépassant, une énorme couverture sur les genoux. Bref, une dégaine peut convenable pour recevoir quelqu'un. Faisant le pantin sur sa chaise, les bras ballants, la tête en arrière, elle fixa le dôme de verre opaque, la lumière apaisant s'en dégageant. Soupirant, elle se releva calmement, laissant la couverture glissait lentement de ses jambes pour venir s'étaler par terre. Douche, habillage, maquillage.

Mais ne vous inquiétez pas, elle n'allait pas faire des folies. Un peu d'anti-cernes et de fond de teint seraient amplement suffisants pour cacher sa mauvaise mine. Et puis en habit. Sincèrement ? Cassiopée n’aurait tellement désiré de n'avoir à enfiler qu'un jean et un t-shirt. Mais bon. En tant que Pilier, ça le ne faisait pas des masses. Bonjour, bienvenue chez moi, le proprio fait tache dans le décor habillé en campagnard. Tournant son poignet pour regarder l'heure, elle calcula rapidement combien de temps, il lui faudrait pour être prêtre, combien de minutes d'avance, elle pourrait avoir. Cependant c'est quand la sonnerie ne retentit qu'elle s'inquiéta sérieusement de ses aptitudes en mathématiques. Mais comment s'était-elle encore débrouillé pour tomber complètement à côté ? C'est dans ce genre de moments, qu'on regrette d’être flemmard. Si au moins elle avait daigné lever ses fesses de chez elle. Sortant rapidement de la douche, elle s'attacha les cheveux rapidement. Habits ? Plus le moment de réfléchir, fallait enfiler ce qui lui passait sous la main. Chemise blanche, pantalon noir en toile. La Shiyo descendit rapidement les escaliers de tôles, dans un vacarme assourdissant. Comme ça, au moins, ça faisait discret. Ça ne fait pas la fille à la bourre qui dévale l'escalier avec tellement de bruit, qu'on a l'impression qu'il y a toute sa famille avec elle.

Arrivant à la porte, elle ouvrit celle-ci calmement, regardant d'un ai dépité le nouveau venu. Le facteur. Elle venait de se dépêcher, pour le facteur. Prenant en main les quelques lettres, parmi lesquels se trouvaient des invitations à des conférences, des lettres administratives, des galas de charités et j'en passe. Cependant lorsqu'elle jeta le paquet de lettres sur la console, l'une d'elles glissa, l'image se trouvant sur celle-ci interpellant son regard. Se baissant, elle la ramassa, fronçant les sourcils. Prenant les clés de la boîte aux lettres se trouvant juste à côté d'elle, elle déchira le plus proprement qu'elle pouvait l'enveloppe, glissant sa main dans la fente. Tirant une feuille pliée en trois elle lu les premières lignes. De nouvelles informations. Elle parut satisfaite à son regard intéressé et quelque part excité par cette découverte. De nouvelles informations, plus complètes que les précédentes. Posant celle-ci sur la table de son salon, à côté des autres, le bruit de pneus sur le gravier de l'entrée la fit se retourner, avant qu'elle n'entende sonner. Cette fois, il n'y avait aucun doute à avoir, c'était bien lui. Prenant son temps pour revenir, elle pressa la poignée, esquissant un sourire.

« Bonjour, Monsieur Cross, ravie de vous revoir et merci d'être venu dans d'aussi bref délais. » Elle lui tendit sa main pour qu'il la serre, fermant la porte derrière lui. Ne voulant pas perdre de temps, elle le conduit de suite vers la table en verre, lui proposant de s'asseoir. Et puis elle se souvint enfin de temps le concernant. Comme quoi, il suffit de voir le visage des gens pour que tout nous revienne à l'esprit. Elle lui avait foutu deux râteaux. Le premier lorsqu'il lui avait demandé d'être sa Shiyo, le second quand il lui fait des avances. Pas méchant, bien sûr, mais pas intéressée.

Cassiopée R. CURTIS
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MessageSujet: Re: Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 EmptyLun 18 Avr - 19:52


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■ Les ferrets de la Reine ♪ ■
[Cassiopée R. CURTIS]

Journée chargée en perspective comme tous les jours à vrais dire. Caesar était bien installé dans son fauteuil de cuire au sommet du building de son entreprise. Il regardait les nombreux mail qu’il avait reçut durant la soirée. Rien de bien intéressant, mais il s’agissait surtout d’informations pas spécialement intéressantes. Des invitations, des propositions, tout ça pouvait passer à la poubelle sans qu’il ne les regarde. Lorsqu’il avait de véritable information, c’était sur téléphone portable qui était bien plus crypté que le reste de ses ordinateurs, sauf peut-être chez lui. Etant un Master de la ville, il se devait d’assurer ses arrières pour éviter d’un hacker puisse violer ses pares feux et donc ses informations.

Il avait tout de même prit l’habitude de marquer les choses vraiment importantes sur papier ou dans son petit calepin qui était une véritable mine d’or d’information. Personne sauf peut-être sa Shiyo connaissait l’existence de ce petit calepin qui pouvait faire tomber de nombreuses têtes en quelques coups de fil. Soupirant, il remplissait un petit dossier lorsque sa secrétaire entra rapidement dans son bureau avec un morceau de papier dans sa main. Apparemment, à voir les étoiles dans les yeux de la femme, c’était surement quelque chose de très important et effectivement, lorsqu’il lu le message… il comprit pourquoi elle était aussi excitée.

▬ Je pense que vous pouvez annuler tous mes rendez-vous mademoiselle Clinton. Il semblerait qu’on ai besoin de moi.

Souriant, il prit le morceau de papier avec les informations pratiques avant de ranger les dossiers sur son bureau. Ca pourrait attendre, une membre des cinq piliers avait besoin de ses services, il n’allait pas se faire prier. Eteignant le projecteur holographique, il attrapa ses clés de voiture avant d’enfiler sa veste noir pour sortir de son bureau. Plaçant son petit calepin dans la poche intérieur droite, il attrapa une cigarette tout en demanda à sa secrétaire de déléguer les charges à son second. Il pourrait bien tenir la boutique pendant quelques heures. Prenant l’assener jusqu’au parking, il put enfin allumer sa cigarette en entrant dans la voiture.

Le moteur s’alluma, les écrans s’illuminèrent et il ne tarda pas à prononcer l’adresse à son GPS qui lui indiqua la route à suivre. Ce n’était pas la porte d’à côté et il allait prendre son temps, s’achetant un café en route pour pouvoir prendre un petit coup de jus avec la caféine. Plusieurs minutes plus tard, il débarqua à la demeure de la femme qui avait besoin de lui. Il n’y avait eu aucuns détails de fournis, franchement… il n’y avait qu’elles pour pouvoir prétendre à le faire déplacer. Non, demander un rendez-vous chez elle. Il ne dirait rien du tout… mais quand même. Sortant de sa voiture, il ne tarda pas à sonner sur le pas de la porte pour voir la belle aux cheveux rouges lui ouvrir et lui tendre la main.

▬ Il n’y a pas de soucis Mlle. Curtis, c’est toujours un plaisir de vous aider dans votre lute.

Souriant, il lui sera la main, ses longs cheveux noirs bien coiffés comme toujours. Elle le conduit jusqu’à la table en verre ou ils s’installèrent. Revoir cette femme lui rappelait de bien… beaux souvenirs à vrais dire. Avec elle, il n’avait essuyé que des échecs avec elle, mais ça ne l’avait rendu que plus fort après tout. Elle n’avait pas voulu devenir sa Shiyo et aujourd’hui il comprenait pourquoi. Elle était une tête pensante de la ville à présent. La deuxième fois, elle avait décliné ses avances. Dommage… C’était une ravissante femme après tout, m’enfin, c’était du passé à présent. Croisant les mains sur la table, il regarda celle qui l’avait fait venir.

▬ En quoi puis-je vous être utile ? Auriez vous besoin d’une quelconque information ?



Dernière édition par Caesar T. CROSS le Mar 19 Avr - 15:04, édité 1 fois

Caesar T. CROSS
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MessageSujet: Re: Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 EmptyMar 19 Avr - 12:24



Les ferrets de la Reine.

Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 14ue23l Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 2evx36g
« And here came the hat and it was transformed,
a very busy businessman. Queen of heart and mad hatter. »

Cassiopée le remercia d'un signe de tête, s'installant. Prenant en main un dossier à la chemise rouge, à la couverture marquée par des lettres épaisses et noires, de lettres ne voulant apparemment rien dire comme ça. C'était en réalité les initiales d'une société, que la jeune femme soupçonné de fraude fiscale. Elle avait réussi à obtenir les relevés bancaires du président de l'entreprise, les chiffres annuels et mensuels, elle avait essayé de trouver un maximum d'informations. Fouillant dans le dossier, elle en sortit une photo, celle du siège de l'entreprise se trouvant à Seattle. La mettant devant le jeune homme, elle tapa son ongle contre la table en verre, lui tendant les quelques factures. « Je vous prie de bien vouloir lire ses documents. Je soupçonne cette entreprise, et sachant que vous n'aviez aucun partenariat ou accords avec cette société publicitaire en tant que rédacteur, j'ai préféré m'en remettre à vous. » Un journaliste qu'on avait corrompu avec un pot-de-vin restait la plupart du temps mué comme une carpe, ne révélant rien. Au moins elle était sûre et certaine que Monsieur Cross n'avait aucune dit relation avec l'entreprise, et n'aurait pas à lui mentir. Quoi que, ça ne tînt qu'à lui de délivrer à la jeune femme les informations qu'elle désirait. Cassiopée ne préciserait en aucun cas qu'elle l'avait sollicité parce qu'elle était sérieusement en retard. Ça ne faisait pas sérieux pour un Pilier, c'est sûr. Prenant un stylo en main, elle fit des crochets devant les passages importants, ceux qu'elle aurait aimé pouvoir souligner, les travailler plus en profondeur. « Voilà, selon ce papier, cette entreprise ferait aussi du trafic d'armes, ils auraient un hangar où ils entreposent tout. Cependant on ne sait ni où, ni avec qui ils trafiquent. Je ne pense pas que vous ayez la réponse tout de suite, mais j'aimerais travailler avec vous sur ce point. De plus ça fera une exclusivité intéressante pour votre journal. »

Et oui en affaire, il fallait aussi mettre du positif et des avantages de l'autre côté de la balance, sinon ça marchait rarement. Elle se leva alors, lisant quelques lignes sur le duplicata qu'elle venait de prendre en main, fixant quelques instants le jeune homme avant d'aller se rasseoir, lui tendant la feuille, tapant à nouveau nerveusement ses ongles sur la table en verre. Cela faisait déjà une bonne vingtaine de minutes que chacun lisait des informations, se les passaient, discutaient de certains points, tranchants logiquement chaque indice. Prenant son ordinateur portable, la jeune femme agrandit une carte de Seattle, essayant d'émettre une hypothèse sur l'endroit.

Finalement, Caser l'aidait bien plus que prévu. Lui qui n'aurait dû que donner quelques informations pour repartir, ils avaient fini par presque travaillaient sur le problème même. Elle sourit cependant à cette pensée, elle abusait franchement. Faudrait trouver le moyen de le remercier. Ce n'était pas vraiment un travail, de l'argent aurait sûrement vu comme un pot de vin, quoi qu’avoir plus d'argent ne semblât pas le déranger. Un simple merci et bonne continuation, ça faisait radin franchement. Elle l'avait fait déplacer et sûrement annulé maints rendez-vous en plus de la réunion pour mettre en place le journal de demain. Alors tout en terminant de réfléchir sur le problème, elle réfléchissait aussi à comment le remercier. Un restaurant, ça faisait la femme intéressée, surtout qu'elle lui avait fait comprendre, il y a quelque temps de cela qu'elle n'était pas intéressée. Elle n'aimait pas mélanger relations et travail, parce qu'après ça foutait la merde. Le strict minimum de politesse et d'empathie tout en fournissant un travail intéressant et utile, c'était le meilleur ciment pour bâtir une entreprise solide. Il y avait l'option de payer en nature, mais ça, c'était hors de question. Cassiopée trouvait cela très dégradant pour la personne devant payer, offrir son corps pour oublier qu'on doit quelque chose, c'était pathétique. Une bonne bouteille de vin, un grand cru, ça faisait toujours plaisir.

Quoique ça lui fît un peu mal au cul de devoir donner l'une de ses bouteilles. En fait, aucune option n'allaient. Soit trop, soit pas assez. Puis reprenant un côté plus professionnel, plus sérieux, elle demanda tout en regardant les chiffres de l'entreprise, sur un ton très sérieux : « Que pensez-vous de la fellation de la bourse ? » Quand on dit ce genre de chose aussi sérieusement, on pense à une blague. D'ailleurs la jeune femme ne se rendit pas tout de suite compte de sa phrase, c'est au bout de quelques secondes de silence qu'elle se tourna vers le jeune homme, dont'elle repensa à sa phrase. Légèrement gênée, elle essaya de reprendre avec classe et élégance sa phrase. « ... Haem, l'inflation de la bourse, je voulais dire... » C'était sûr qu'elle allait faire une bourde. Cassiopée sérieuse aussi longtemps, c'était comme un ordinateur en surchauffe. Un moment donné, ça fait n'importe quoi. Elle essaya donc de reprendre son calme son sérieux, ce qui fut difficile.


Cassiopée R. CURTIS
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MessageSujet: Re: Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 EmptyMar 19 Avr - 17:58


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■ Les ferrets de la Reine ♪ ■
[Cassiopée R. CURTIS]

La jeune femme montra rapidement ce qu’elle voulait de Caesar. Ouvrant une chemise rouge pour lui mettre des photos ainsi que des dossiers d’une certaine société devant ses yeux. Apparemment, la belle était sur un très gros coup et avait besoin d’un informateur comme lui qui n’avait aucuns liens avec l’industrie en question. A vrais dire, il était surement la personne la plus à même de s’occuper de ce dossier, il avait énormément de personnes tout autour de lui qui pouvait lui fournir les informations nécessaires. De puis, il semblait qu’il y avait un trafic d’arme dans un entrepôt, mais elle ne savait pas ou il se trouvait, bien qu’elle avait une brève idée du lieu.

Curieux sur le bout des doigts, le jeune homme ne tarda pas à se mettre à travailler sur place, lisant les dossiers qu’elle lui mettait sous le nez tandis que cette dernière s’occupait elle aussi de son travail. Apparemment, il y avait des choses bien louchent qui se tramaient dans les environs et c’était effectivement quelque chose d’important. Le fait d’avoir parlé d’exclusivité pour son journal l’avait forcement motivé pour l’aider dans sa tache, mais il aimait tout simplement aider le bon côté de la justice. Ce n’était pas la première fois qu’il aidait les autorités, mais la membre des cinq piliers, encore jamais en personne.

Prit dans ses papiers et ses nombreux dossiers, il en oubliait l’heure ou bien le fait que celle qui avait besoin de lui avait peut-être besoin de partir ou encore de travailler seule. Il avait prit ses marques sur cette table en verre et voyait déjà quelques petite failles qu’un journaliste aguerrit voyait assez souvent lorsqu’il lisait des dossiers du même style. De l’argent qui disparaissait chaque moi, toujours assez pour ne pas attirer l’attention des banquiers ou autres magistrats qui s’occupent de ce genre de formalités. Un fin sourire, il semblait comme plongé dans son travail et finalement Cassiopée voulu changer de sujet, d’étendre l’atmosphère, parler de la bourse… mais fit une bourde monstrueuse.

▬ Serais-ce une invitation ?

Il n’avait pas bougé, regardant toujours les chiffres qui défilaient sans pour autant détourner le visage vers la jeune femme, pas de sourire, rien. S’en était presque sérieux de sa part bien qu’elle s’était rapidement reprise en parle de l’inflation ou lieu de la fellation de la bourse. Elle avait les idées mal placées et il savait bien qu’elle s’était simplement trompée. Elle avait été assez clair quelques années plus tôt après qu’il lui ait fait ses deux propositions et ses avances. Elle n’était pas intéressé et savait que ça ne changerait pas comme ça du jour au lendemain. Soupirant, il daigna lever les yeux de ses fiches pour regarder la jeune femme qui avait tentée tant bien que mal de reprendre son sérieux après sa bêtise.

▬ Ce que je pense de cette inflation… Je pense pas que ce sera la dernière malheureusement, le commerce illicite ne fait qu’augmenter et si nous n’arrêtons pas ce genre de transactions, cela ne fera qu’empirer dans les années à venir. Malheureusement, trop de monde veut faire des bénéfices ou bien de petites économies et c’est bien la plus grande maladie de la bourse et ce depuis sa création.

Malheureusement, il n’y avait pas que ça, mais c’était en grande partie à cause des actions des gangs qu’il y avait ce genre d’inflation. Quoi qu’il en soit, à ses côtés son portable s’illumina, un message, une phrase et l’homme se leva de la table, s’excusant auprès de celle qui l’avait convoqué avant de changer de pièce pour passer un coup de téléphone à l’un de ses informations puis finalement à l’un de ses journalistes. Il allait confier l’affaire à Willows, il pourrait faire de véritables miracles. Revenant finalement dans la pièce, il s’installa à sa place, posant son téléphone sur le verre tout en regardant Cassiopée et ses longs cheveux rouges. Quelle étrange femme…

▬ Je viens de mettre un de mes journalistes sur le coup, je devrais rapidement avoir quelques informations. Je vais aussi appeler quelques personnes pour savoir si elles ont quelques liens avec cette société. J’espère trouver quelque chose d’important assez rapidement, mais souvent, cela prend du temps. J’espère que vous n’êtes pas trop pressée ?

Oh, il avait son petit carnet qu’il pourrait utiliser pour faire parler de nombreuses personnes, il allait aussi appeler une connaissance à lui qui pourrait entrer dans les serveurs protégés de l’entreprise. En somme, il mettait le paquet pour la femme qui se tenait en face de lui. Elle ne lui demanderait rien, du moins, pas pour le moment, c’était un échange de bons procédés. Elle lui demandait de faire quelque chose pour elle ? Il le ferait et en échange il aurait l’exclusivité, que demander de plus ? Elle aurait surement une dette qu’il utiliserait un jour lorsqu’il serait dans une mauvaise passe, mais ce n’était pas le genre d’homme à tomber facilement dans les problèmes.


Caesar T. CROSS
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MessageSujet: Re: Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 Les ferrets de la Reine. 「PV. Caesar」 EmptyDim 24 Avr - 21:58



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Cassiopée aurait vraiment aimée se cacher, c'était franchement la honte pour elle. Essayant de rattraper la chose, elle prit un air sérieux, crispant son visage entier. Il fallait bien qu'elle est l'air de ne pas avoir l'esprit mal placé, qu'elle s'imaginait des choses ou bien qu'elle repensait à sa nuit précédente. Elle aurait pu garder son expression sérieuse, se sentant totalement concernée et impliquée par tout ça. Elle l'était avant cette magnifique bourde qui aurait pu passer à la télé, au zapping s'il l'avait dit sur le plateau d'une émission. Mais peut être qu'elle aurait pu rester ou dû moins faire sembler d'être posée, s'il n'avait pas décidé de la déstabiliser encore. « Serais-ce une invitation ? » Elle ouvrit de grands yeux, le rouge lui montant aux joues. Il le faisait exprès en fait, c'est ça ? Il restait cependant concentré sur ses feuilles, ne relevant pas le regard, restant statique. Ne pas répondre, le silence était peut être la meilleure des réponses ? Parce qu'elle allait sûrement sortir une seconde bourde, alors valait mieux qu'elle laisse passé ça quelques minutes avant de ressortir une bourde encore plus perverse et lourde. Elle n'écouta qu'à moitié la réponses à sa véritable question, essayant de rester passive. Un peu de tenue quoi merde. Il sembla passer un coup de fil, elle s'éloigna d'ailleurs elle même un peu pour lui laisser un peu d'intimité et de confidentialité. Voyant qu'il la fixait, elle lui sourit, la tête légèrement penché sur le côté. « Hm ? »

Que de bonnes nouvelles. Passant sa main dans ses cheveux, rangeant quelques feuilles, elle sembla satisfaite. Quoi de mieux que de travailler avec des personnes agréables, qui arrivent à faire un travail correcte et plus que satisfaisant ? Parce que les boulets, ceux qui comprennent rien, les personnes étant à côté de la plaque, les séniles, les prétentieux, les glandeurs et j'en passes, Cassiopée en connaissait un peu trop à son goût. « Et bien ma foi, si dans un délais d'une semaine vous pouviez clore l'affaire, cela m'aiderait grandement. Par contre, j'aimerais pouvoir vous remercier d'être venu aussi rapidement et ceci à ma demande, cela n'a pas du vous arrangez, alors si je peux vous remerciez... » Elle termina par un petit sourire légèrement en cul de poule. Oui, c'est le sourire de Cass quand elle est crispée. Parce qu'elle ne voulait surtout pas qu'il y voit un quelconque sous-entendu ou autre dans ses propos qui n'étaient qu'amicales et professionnels.

Il avait sûrement dû prendre son après-midi pour venir et ça la gênait de le laisser repartir sans l'avoir remercier correctement. Quoiqu'elle ne voulait pas lui accaparer plus de temps si cela l'embêter. La jeune femme était soudainement dans le soucis de l'autre, froissant nerveusement les manches de sa chemise, comme une gamine de douze ans. Il faut dire qu'elle avait déjà retourné maintes fois en peu de temps la question de ce qu'elle aurait pu faire pour montrer sa reconnaissance. Mais aussi pour éviter toutes méprises sur ses attentions, elle décida tout de même d'ajouter : « Désolé, tout à l'heure je me suis trompée mot, ce n'était pas une invitation, il n'y avait aucun sous-entendues à ça. »

{HAN C'EST COURT. ;_; désolé. }

Cassiopée R. CURTIS
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