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VERTIGO. — Faith Larter+Abigaïl Vengherski

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MessageSujet: VERTIGO. — Faith Larter+Abigaïl Vengherski VERTIGO. — Faith Larter+Abigaïl Vengherski  EmptyLun 25 Avr - 1:07


SI LE FOU PERSISTE DANS SA FOLIE,
IL NE DEVIENT PAS VRAIMENT SAGE


    Le monde se renverse, oscille et penche autour d'Abigaïl. Pour accompagner le monde, elle tourne aussi sur elle-même. Elle a l'air folle avec ses cheveux éparpillés et brûlés, ses yeux qui pleurent, sa bouche qui chante et sa bouteille à la main qui vire et tangue. Ce n'est pas qu'une impression, elle EST folle, en fait. En ce moment-même, elle ne voit plus grand chose. Elle avance en faisant l'avion et en chantant. Son coeur marque le rythme dans sa petite poitrine de cadavre sur pattes. Des vibrations lui parcourt la colonne. Elle a l'impression d'être en mer, sur un voilier. A cause du monde qui tangue. Cette promenade sur l'océan lui a donné soif. Elle porte le goulot de la bouteille à ses lèvres sanguinolentes et descend une longue gorgée. Elle savoure le goût sucré et amer de l'alcool. Fait maison. Impossible de se souvenir de ce qu'il y a dedans. Que des trucs bons pour santé. Non. Tout est mal, mal, mal. Elle se penche et tente d'éjecter ce poison qui lui brûle la gorge. Vainement, c'est trop tard. Tout est passé de l'autre côté. Comme elle. Abigaïl continue sa promenade sans but vers l'horizon en titubant lamentablement. Elle s'accroche à un lampadaire comme un pirate l'aurait fait à un mât et place sa main en visière. Sus aux corsaires ! Elle saute sur la route et avance tel un zombi sous amphétamines. Elle est ridicule. On dirait une enfant aux cheveux brûlés lors d'une expérience ratée avec sa première cigarette, on dirait un animal abandonné sur le bord de l'autoroute, on dirait une fleur fanée. Avec son regard d'ahurie, elle a l'air d'avoir trop prit l'air. Quel comble pour un pirate. Elle trébuche et se prend les pieds dans le vide, ses pas sont maladroits. Elle entend un léger frottement à son oreille gauche, elle se redresse alors et guette le moindre mouvement dans le noir. Étrange d'avoir l'oreille aussi fine alors qu'elle est à moitié sourde du côté droit. Soudainement, un chat tout aussi gris qu'elle dans la nuit saute d'un muret. Elle plonge sa main gauche dans une des nombreuses poches de son treillis et en retire une boite d'allumette. Elle en prélève une et place la boite dans sa bouche. Son autre main s'aventure dans une autre poche et ramène un petit explosif. Elle craque l'allumette, allume la mèche et jette le pétard sur sa cible présumée. Tout ceci en trente-sept secondes. Et paf le chat.

    « Encore une mission réussie par le capitaine Abigaïl ! Vive le capitaine ! ». Abi salue son équipage qui l'acclame. Elle saute de la poupe, elle s'accroche aux cordes de la voile de l'artimon, le mât le plus éloigné du gouvernail, et s'élance parmi les toiles de tissu. Elle remonte jusqu'aux cacatois, les voiles les plus petites et hautes. Elle observe la mer imperturbable qui s'étend à perte de vue. Elle descend jusqu'au grand mât et sa chemise tâchée du sang de l'ennemi flotte dans le vent marin. Elle sort sa longue vue tout en continuant sa traversée du bateau par les voiles et observe les alentours. De l'eau, de l'eau et encore de l'eau. Elle la replie et attrape la voile du mât de misaine, le mât le plus près du bord du navire. Elle regarde le pavillon qui claque au vent. Il est composé d'un tête de mer avec un explosif dans chaque oreille, en guise des habituels os. Le fond est orange vif. « CAPITAINE ! UN NAVIRE APPROCHE ! ». Chouette. Abi aime la bagarre, les cris et le sang. Le sang.. Combien en coulera-t-il cette fois ? Et pour se rappeler sa texture, elle se coupe le bord de l'index droit avec son sabre aiguisé. Elle observe longuement la petite perle pourpre et un voile inhumain couvre son regard. Elle la fait disparaître avec sa langue à moitié brûlée. Elle saute sur les planches du bateau et court en observant son équipage constitué de squelettes coller le navire ennemi. Elle éclaircit sa voix en une quinte de toux sanguinolente et crie d'une voix qui perce le bruit des rouleaux de la mer : « A L'ABORDAAAAAAAAAAAAAAAAAGE ». Alors tout le monde se jette sur l'autre voilier. Un combat sans issue et sans pitié commence. Des têtes, des bras et des os giclent à droite et à gauche. Personne ne sait à qui appartient telle ou telle jambe et certains se battent contre eux-même. C'est rapidement pire qu'une braderie en plein été. Ça vole de partout : un oeil, un dentier, une chaussure.. En deux minutes, le combat est terminé. L'équipage d'Abi rentre victorieux avec or et esclaves sur le dos. C'est la fête. On sort les tonneaux de rhum et on chante. On danse sur le pont en hurlant des chansons paillardes. Le brouillard se dévoile, le soleil revient.. Alors Abigaïl boit un coup. Et d'un coup, le monde tremble. Un gros choc. Qui se ressent jusque dans les os du bassin. Un autre bateau. Mais pas d'abordage, pas de sang ni de guerre. Ce navire, elle le connait.


    Mademoiselle la Toxicomane se retourne vers son amie. Après avoir dépouillé, égorgé et caché les corps d'un couple de jeunes qui passait dans le coin, Abi n'est pas très présentable. Un trace de sang lui barre le visage, elle a un regard de fou. Mais l'autre n'est pas mieux. Le choc ne les a pas arrangé. La plus petite en est complètement sonnée et tourne un peu dans tous les sens comme un chien après sa queue. « F..f..Fffff... Fiiiichtre, capitaine Ffffaith, nous voilà dans une belle galèèèèrre » Et elle part dans un rire interminable et terriblement satanique. Un éclat qui résonne dans la nuit comme une cloche d'église. Elle répète sans se lasser "une belle galère" et repart de plus belle. Elle finit par s'étouffer et s'étrangler avec sa salive. Elle reprend une gorgée de la mixture suspecte présente dans la bouteille. Abi la dévisage avec son regard empli de sadisme et d'envie de bêtises. « Capitaine Fffaith ! Nous visons la touuuuuur ! » Et d'un doigt d'enfant malpoli, elle lui montre au loin le repère des Jade Harbor qui n'est plus si loin maintenant. Après tout, cela fait depuis minuit qu'elle erre sans but ainsi et l'horloge sonne les coups de trois heures. Elle cale sa main calcinée dans celle de son amie et l'entraîne dans un marathon jusqu'à la planque de leurs ennemis. Elle court si vite, comme si elle avait peur que Faith s'enfuit au premier carrefour. Elle trébuche dans ses chaussures trop grandes. Son coeur bat à toute vitesse, et pas seulement à cause de la course. Faith. Elle a longuement voulu avoir cette main dans la sienne et maintenant qu'elle est là, elle ne voudrait ne plus jamais la retirer. Comme si on leur avait mit de la glue spécial "vase de mamie à recoller discretos" sur les paumes. Unies. Mais pas réciproquement.


{1113mots ou un truc comme ça.}


Dernière édition par Abigaïl VENGHERSKI le Mar 3 Mai - 15:37, édité 3 fois

Abigaïl VENGHERSKI
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MessageSujet: Re: VERTIGO. — Faith Larter+Abigaïl Vengherski VERTIGO. — Faith Larter+Abigaïl Vengherski  EmptyLun 25 Avr - 17:55

L'euphorie est un grand mot. Surtout chez Faith. Se réveiller avec des larmes aux yeux, se faire 'agresser' par le soleil. Se ramasser aussi. Première définition. Avoir des hallucinations comme voir un halo de lumière se posait sur la tête d'une réplique en carton de Bob l'Eponge ou s’apercevoir enfin qu'un meuble peut voler. Deuxième définition. Enfin, il y aussi se saouler jusqu'à croire que l’irréel était possible. Qu'elle pouvait sauter d'un building sans se blesser ou voir ce que l'on désire se réalisait. L'alcool, c'est une allée directe à l'euphorie, pour quelques dollars. Une musique entraînante, entendue dans le bar, parcourait le corps entier de Faith, la faisait sursauter à chaque fois. La seule chose qu'elle se rappelait, était qu'Abi I s'était ramenée chez elle pour la traîner dans un bar, après avoir lu réponse d'un de ses textos comme quoi elle s'emmerdait à mort chez elle. Et puis, c'est tout. Ah si, elle avait bu une bouteille entière de bourbon et s'en était achetée une deuxième pour "plus tard". Le pas traînant à la sortie du bar et au côté d'Abi II, parlant aux pirates, la jeune Shiyo était donc en plein euphorie, son 'euphorie'. Oh, des ours. Elle écarquilla les yeux. Dans des films, les ours étaient les méchants et à la fin, ils étaient tous morts ! Petite, elle avait déjà demandé pourquoi on tuait les ours. "Parce qu'ils font du mal aux humains, chérie." Ainsi, quand elle était petite, dans ses rêves, elle sauvait les 'humains' des ours et devait une héroïne. Et puis, elle avait grandi mais généralement, elle régressait dès qu'elle buvait de l'alcool. C'est connue, quand elle boit une trop grosse quantité d'alcool, elle rajeunit moralement de dix ans. Elle accouera vers eux, tous en déclarant en souriant.

    « LES OURS VONT CREVEEEEER ! »


Et elle sortit un flingue caché sous sa jupe et tira. Du sang. Y a du sang partouuuut ! Et malgré le fait que les ours étaient morts, elle continuait de leur tirer dessus jusqu'à ne plus avoir de minutions. Et après les avoir traîner les ours dans une ruelle sombre, elle s'aperçu qu'un peu de sang d'un des ours avait atterrit sur la joue satinée de son Abi II. M'enfin pour elle, c'était pas mieux. Sa veste, blanche, était couverte du liquide ainsi que ses joues, un petit peu, et ses bras. Et elle la traîna une deuxième fois, main dans la main. Elles devaient s'enfuir, même si Faith voulait devenir une héroïne. Elle soupira et finit par courir aux côtés de sa tendre Abi II, comme quoi, l'alcool ne donne pas mal au crâne. Elle était "gosse", elle courait donc plus vite qu'un adulte, même si elle n'avait jamais comprise le pourquoi du comment de cette phrase, pourtant tellement vraie.

A trois heures du matin, y a-t-il des gens dans la vieille tour ? Non ? Tant mieux. Quand les Jade Harbor dorment, les Madness Factory dansent ! (a) Un petit rire secoua Faith qui courait avec elle dans les escaliers de la Vieille Tour. Après avoir gravit rapidement les marches de la tour, elles arrivèrent tout en haut de la Tour. Faith déposa sa bouteille pleine et fixa l'horizon.

    « ON EST AU SEPTIEME CIIIIEL ! »


Et Faith ria comme jamais avant de sauter sur Abi II, l’enlaçant comme elle ne ferait jamais, quand elle est lucide.


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MessageSujet: Re: VERTIGO. — Faith Larter+Abigaïl Vengherski VERTIGO. — Faith Larter+Abigaïl Vengherski  EmptySam 30 Avr - 19:54

you are like morphine on my dying skin ¶


    Le monde n'arrête pas de tourner autour d'elle. Comme un grand manège avec un rythme entraînant de fête foraine. Elle court droit - enfin, à peu près - mais à l'impression de faire des tours sur elle-même. Tenir la douce main de Faith n'arrange rien. Elle se sent pousser des ailes. Du pop-corn crépite dans son coeur taché par le temps et les remèdes. L'alcool et la drogue sont encore plus efficace sur son humeur qu'un spermicide pour quelqu'un qui ne veut pas d'enfant. Rajoutons Faith dans le paysage et c'est le paradis. Ses pensées dionysiaques s’emmêlent, elle ne distingue toujours pas le vrai du faux. Comme cet ornithorynque, là, qui traverse la rue avec une canne. Existe-t-il vraiment ? Et ses délires emplis de dégénérescence, ont-ils une once de vérité ? Son esprit nébuleux s'emplie d'une mélancolie infinie. Sa vie n'est qu'une succession de mensonges et de délires. Elle engloutit une énorme lampée du liquide de sa bouteille et avale de travers, ce qui lui donne l'impression de détartrer son larynx. Et elle se sent mieux. Abi virevolte telle une feuille morte en tenant la paume céleste de Faith. La course vers la Tour semble ne jamais se terminer, ce qui arrange la jeune toxicomane qui ne voudrait ne plus jamais se séparer de Faith et de cette impression d'avoir le soleil qui se lève dans son coeur. Le paysage tourne comme une rangée de rubik's cube, le décor change. Elle est dans un grand champ de coquelicots. La délicatesse de l'endroit est impressionnante. Une libellule se pose sur son bras maigre et blanchâtre. Elles sont assissent en cercle avec d'autre gens qui ont plusieurs têtes et un seul oeil. Celui du milieu qui fixe les deux jeunes filles déclare d'une voix qui fait vibrer toutes les fleurs et les nuages : « Je tiens à préciser que cette secte se déroule anticonstitutionnellement. Que tout le monde mette son chapeau. » Comme un petit robot, Abi pose le chapeau melon noir qui se trouvait devant elle sur sa tête. Le chapeau est trop grand et trop lourd, elle n'entend plus ce que dit le chef cyclope. Elle comprend juste quelques mots comme « ... récitez prière après. Parlons ... projet ... génocide ... licornes ... sang ... sacrifice. C'est pour ça... jeunes filles aux cheveux clairs ... » Elle se met subitement à comprendre lorsqu'ils se lèvent tous et se dirigent vers elle avec des hachoirs et un thermostat. Enfin, surtout aux niveaux des hachoirs. Elle prend la douce main de Faith et court comme en plein marathon en écrasant les fleurs. Elles se retrouvent devant un grand château. Elles localisent le donjon et y court sans s'arrêter. Elles gravirent rapidement les marches et elles arrivèrent tout en haut. Abi, par réflexe, prit une gorgée d'alcool. Nouveau mouvement de rubik's cube.

    Elles sont arrivées à la Tour. La jeune pyromane vacille un peu, ces changements de paysage n'arrangent pas l'état de sa cervelle. Faith avait déposé sa bouteille et regardait l'horizon. L'autre jeune fille rampait jusqu'à elle en agonisant lentement. Son cerveau ne transmettait qu'une seule partie de l'endroit où elle se trouvait et cligner des yeux lui faisait encore un mal de chien. Elle se décide donc pour la solution habituelle qui consiste à ne plus fermer les yeux et à regarde tout le monde d'un air effrayant. « ON EST AU SEPTIEME CIIIIEL ! ». La voix de Faith résonne dans son oreille comme un écho. Elle esquisse un sourire en entendant le rire de son amie qui sonne comme une cloche du paradis. Elle n'a plus le spleen qui surgit quand l'alcool ne fait plus trop effet. Soudainement, la jeune fille blonde se jette sur elle. Elle l'enlace comme Abi l'avait souvent fantasmé. Cette dernière est vraiment au paradis, elle pose ses frêles bras de manière brouillonne autour de Faith et sauvegarde ce moment dans sa tête. Jésus, Marie, Joseph. Faites que ce moment ne cesse jamais. Abi n'avait jamais cru en Dieu, mais la foi lui revint miraculeusement. Elle aurait pu mourir maintenant, qu'importe si elle n'était jamais agressé quelqu'un de Polytechnique ou mangé un yaourt sur un volcan en ébullition - oui, bon chacun ses trucs. Le cerveau d'Abi était en pleine regénérescence juste en contact avec elle. La jeune toxicomane se mit à rire avec elle et fit des roulades dans ses bras. Elle se décolle d'elle pour tenter de retrouver quelque chose à boire et l'impression qu'un porte-mine lui rentre dans le coeur la colle au sol. Elle hoquette sous le choc et se plonge sa main en réflexe dans une de ses poches. Elle saisit une gélule verte et bleue ainsi qu'une rouge et les avalent sans prendre la peine d'essayer de se souvenir de ce que ces cachets sont censés soigner. « J... JE SUIS UN.. ». Le monde se brouille avant même que le cachet est rejoint le fond de sa gorge. Une explosion dans son cerveau lui coupe la vue et l'ouïe. Elle a l'impression qu'elle porte une combinaison en cuir avec, du côté qui touche sa peau, des pics en acier. Elle dévisage Faith avec ses yeux de chouette et lui tend des autres pastilles de la même couleur. Elle ne voit même plus si son amie a prit les cachets. Eh, minute. Et si elle les avait confondu avec ceux à l'arsenic ? ... « PLFR. JE SUIS UN. un. perroquet. »


    Comme pour lui prouver le contraire, elle se retrouve dans un ciel bleu électrique avec plusieurs soleils de différentes couleurs. Elle-même est de toutes les couleurs. Ses plumes sont de différentes teintes qui ne se répètent jamais. Son vol dure plusieurs minutes et, sans diriger ses ailes, elle se pose sur le haut d'un immeuble. Elle observe le paysage et entend son prénom. Lorsqu'elle se retourne, elle se retrouve soudainement dans la Tour. Faith est là. Abi est prise d'une folle envie de lui sauter dessus. Sans arriver à se contrôler, elle lui saute dessus et tente de lui enlever son tee-shirt. « FAITH. » La mémoire lui revient. La pastille rouge, c'est pour planer. La verte et bleue, c'est contre l'impuissance. Une sorte de GHB actif. Des mots plus que vulgaires essaye vainement de sortir de sa bouche, mais elle se mord les lèvres tellement fort que rien n'en sort. Tellement fort qu'elles pissent le sang. Elle marmonne des choses tout en tentant de se retenir d'enlever les vêtements de Faith. Avouons-le, elle faisait juste semblant. Ce n'était pas la première fois qu'elle essaye. Mais elle tremble tellement qu'elle n'arrive à rien, alors elle se fait violence et court vers sa bouteille. Le remède contre la folie. D'un trait, elle vide le récipient qu'elle pose par terre puis shoote dedans.


{1116mots.}

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