Les yeux entre-ouvert sur le fin rideau pourpre du hublot, Esha ne pouvais même pas encore distinguer les premiers rayons de soleil. A vrai dire, il n'était pas encore levé. Surement parce qu'à 06:25 du matin, tout le monde dors. Même le soleil. Mise à part la Lune qui, en croissant bercer sagement Esha, mais sans effet bien distinct. C'est ainsi que la couverture ne cachant que le bas du corps de demoiselle, la poitrine a découvert, et Esha se leva de son lit, pour se diriger vers la salle de bain. Là ou elle se dénuda plus qu'elle ne l'était déjà, nue, laissant apparaître sur son corps, quelques frissons. Elle pénétra dans la douche, où elle se disposa contre la paroi, laissa se déverser sa peau, l'eau brûlante de sa tête, jusqu'à ses pieds. Les yeux fermés, elle leva la tête, sans se soucier de la température de l'eau. Sa peau devenant légèrement rouge, après quelques minutes passés sous cette dernière. Elle se décida a l'éteindre et pris le savon pour se laver. Au final, Esha aura passer plus d'une heure dans sa salle de bain. Toutefois, ce n'était que le temps de se laver. Après il fallait ce coiffer, ce maquiller, s'habiller, oui oui. Car Esha fait très attention à son apparence. Elle s'était vêtue d'un collant noir et d'un short de la même couleur, avec diverse motifs qui ne faisait que l'embellir. Qui plus est, ses yeux divaguant sur l'horloge, qui, cette dernière laisser apparaître l'heure de 08:15. Elle allait encore trainer seule, comme chaque jours. Ou alors .. elle allait s'amuser avec quelqu'un petit civils pour se marrer. Mais avant tout, pour se distraire, et pour son plaisir personnel. Oui parce que bon, se faire violenté n'est bon que pour la personne qui agit, non pour celle qui reçoit les attaques. C'est logique.

C'est d'un pas léger et d'une vitesse soutenue que notre fier membre du clan Jade, se balader dans la ville. Capuche sur la tête, n'entendant que le son de ces écouteurs, le volume au maximum. Elle détestait entendre les gens qui passaient a côté d'elles se plaindre, ou raconter leurs vies. Cela avait le don de la mettre en rogne. Elle trainait des pieds, ne sachant pas vraiment qui et ou son acte aller se passer. A vrai dire, elle s'en ficher bien, mais .. Esha voulais pour une fois avoir a faire a une personne forte mentalement. Les personnes qui fonder en larme au bout de deux minutes l'agacer fortement. Mais leurs cries .. ô leurs cries. Ils avaient beau lui exploser les oreilles, mon dieu qu'elle aimait voir ces victimes crier de toute leurs forces. Cela la faisait se sentir forte, oui forte. Vous savez, ce sentiment de force, quand une personne a qui vous infliger diverses humiliations pleures devant vous, crie jusqu'à ne plus pouvoir agir, vous supplies mille et une fois de stopper vos gestes. C'est si .. bon. Esha se souvient de sa toute dernière victime. Si ces souvenirs sont bon, elle l'avais attrapé dans l'une des cabines d'essayage d'un des magasins dans la galerie marchande. La pauvre fille n'avais rien comprit, elle avait suivie Esha comme un toutou suis son maître, malheureusement elle, elle n'avais pas pu crier. La Jade est peut – être folle, mais pas au point de ce faire repérer. La fille en question se nomme Leyla. Beau prénom, ainsi que très jolie corps. Oh Leyla tu avais enflammé Ecko ! Mais cela t'étais retombé dessus. Ecko l'avais battus en toute discrétion, telle une bonne Jade, pour ne pas éveiller les soupçons sur sa personne. La discrétion, il faut toujours être discret ! C’est la meilleure des choses, pour qui veux ne jamais avoir d’ennuis.

Mais passons, le passé est le passé, et le présent le présent. Stupide cette phrase. Humph .. Personne de bien appétissant a prendre ici. Personne, même pas une personne plus âgée qu'elle, rien ! Il n'y avait que des petites pucelles, coincer qui n'attirer même pas l'intention des gens avec une perversité incomparable avec celle d'Esha. Pour cela qu'elle décida de faire demi – tour vers l'établissement de ces cher et délicieux étudiants. Oui, vous petits être encore frêles et chétifs. Vous avez le don de faire tourner la tête d'Esha ! Elle vous veux, rien que pour elle, n'importe quand, et n’ importe où ! Peut l'importe, elle vous veut. Après tout, rien de meilleure que de la chair encore vierge. C'est encore plus délicieux quand personne n'a touché ! Esha vous aimes. Esha vous veux. Esha ne veut partager vos corps avec aucune personne. Parce que sachez, qu'une fois qu'elle aura profité de vous, comme une bonne fille, plus aucun corps n'aura de gouts pour vous. Vous en redemandez chaque jours, chaque heures, vous ne serait satisfais que part elle, et personne d'autre !

Elle marcha donc d’un pas assuré vers le port, ayant pour seule lumière. Les reflets de la lune, ainsi que les lampadaires tellement usés qu’ils n’éclairaient qu’une fois sur deux. Il était tard, et la journée avais passé assez vite. Au point qu’Esha n’eu fais peur ou même mal à personne. Ce qui est fort étonnant la concernant. La jeune demoiselle enleva sa capuche et poussa doucement sa mèche de devant ses yeux, pour la coincé sur le côté, et pouvoir ainsi profité au maximum de la vue étoilé que le ciel lui offrait.

Le doux silence de la nuit, avec le léger souffle provoqués par les vagues qui venaient toute volontairement se jetées, s’explosées contre les parois en pierre du port, fut malheureusement brisé par l’approche d’une jeune idiote, encore inconnue parce que de dos à Esha. Elle détestait que l’on rompre ses moments paisibles de long silence entre elle, et la nuit. Elle avait horreur qu’on la dérange alors que pour une fois, elle était calme, seule, triste pour ne changer je dois l’avouer. Pour une fois qu’elle ne voulait de mal à personne, pour une fois qu’Esha était la étendue droite les mains dans les poches devant la mer, et ben non, il fallait qu’une jeune pucelle vienne tuer ce silence si agréable en soirée. Pour l’instant il est vrai qu’Esha n’avais qu’une seule et unique envie. La jeter dans la mer, et la laissé se noyer, seule, comme une idiote. Pourquoi cela ? Pourquoi toute cette haine si soudaine, alors que la charmante demoiselle étais tout simplement calme jusqu’à ce moment la. C’est tout simplement, parce qu’aujourd’hui, c’est le dixième anniversaire de la mort de sa mère, Alekseï. Alekseï était si belle, gracieuse, aimante, douce, et surtout, elle aimais tant sa fille.. Sa mort ne fit qu’approfondir la douleur d’Esha qui avait déjà perdue son père, Aaron, deux mois plus tôt. Triste histoire pour la famille des WOLF. Mais que voulais-vous. Une mort peut en cacher bien d’autre. Vous ne croyez pas ? Idiot. Oui on vous a mentis. Toutes les histoires que vous avais lut ou entendue sur les familles qui vivaient heureuse, en harmonie, et ben NON, c’était que de la merde. Que de la merde qui servait un instant, à vous faire rêver, juste un instant, un court instant... Toutes les histoires n’ont pas de fin heureuse. Ou les parents s’aiment de tous leurs cœurs, ou les frères et sœurs s’apprécient comme le whisky et le coca. Non non non. C’était que de la pure fantaisie. Mais réveillez – vous idiots et idiotes que vous êtes. Hé ho on vous a bernez ! Un soupire se fit entendre entre deux vagues et Esha se réveilla du fond de ses pensées pour bouger doucement la tête, jusqu’à faire tombé sa mèche de nouveau, sur ses yeux, les cachant à quiconque approcherais. Comme si malgré son étourderie, elle allait laisser voir quelqu’un son doux regard de jeune fille triste et perdue sans ses parents.

Une voix vain à casser de silence, ce doux silence... « Ha je comprends mieux pourquoi tout le monde est parti, commença-t-elle d'un ton lent, laisser des demoiselles encore mineures, seules dans un quartier comme celui-ci c'est malin. Suffit ensuite de les laisser regarder les étoiles, comme toutes fillettes romantiques, et de les prendre par derrière ET par surprise.» Un fin et délicieux sourire se forma sur le visage d’Esha, ayant reconnue la voix de cette jeune demoiselle, qui l’intriguais tant. Elle aurait pu reconnaître cette voix entre mille. Et elle ne se serait pas tromper. Pas elle. Pas Beccacaa. Entre elle ce n’était pas ce que l’on pourrait qualifier d’amour fou, mais un peut quand même. Becassline et Esha s’apprécient assez bien sans pour autant le montré au grand jour et à qui va et vient. Les deux demoiselles n’étaient pas du même groupe, et donc, ne pouvais en plus de ça pas vraiment faire voir à tout le monde qu’elles s’apprécient comme de bonne amie qui se respecte. Non pas question. Un long soupire suivit ce sourire narguer. Esha en avais rien à foutre qu’elle lui parle, ou autre. Mais c’était Beccacca, et donc, elle allais volontairement la faire chiée et rétorqué à toutes ses éventuelles attaques, quel quelles soient. Ce n’est pas ce qui lui fera peur, bien malheureusement. Il en faut un peut plus, histoire que ce sois marrant, vous voyez. Un coup de coude vient faire perdre son sourire et se levais son regard vers la provenance de ce coup. « Sauf si vous aimez cela, avoir des problèmes, continua-t-elle en lui donnant un autre coup de coude, je risque d'en avoir aussi si tu te fais violer l'Eshalotte, non assistance à personne faible en danger, ça existe comme peine.» L’Eshalotte, ah jolie Beccaline que tu es. Si tu savais comment ça lui fais plaisir à Esha que tu la nommes ainsi. Ca l’amuse, la divertie. Oui c’est ça, en faite, Beccaline tu es un divertissement parmi bien d’autre. Sauf que toi, elle t’apprécie bien en faite. Petite chouchoute va. Ralala, favoritisme hein. Les coups de coude commençait doucement à faire rager la jeune demoiselle silencieuse, elle aimais pas les coups de coude, ne rien d’autre en même temps. Chiante ? Vous n’imaginez même pas à quel point, jeune gens. « Sauf si t'aimes ça, te faire violer, continua-t-elle naturellement, t'es un peu tordue des fois alors ça ne me surprendrait que très peu.» Et elle continuait cette inconsciente. Mais pas grave, Esha elle va s’amuser, jouer, rigoler. Parce qu’elle aussi, elle a droit. Elle a le droit de la faire chié, la faire rager. Ca change des autres gens qui chouine des qu’elle s’approche…

« La demoiselle encore mineur, elle te colle au sol si tu l’as touche encore une fois. Beccacca. C’est moi qui prends les gens par surprise, et non le contraire, tu devrais le savoir, non ? Les problèmes c’est moi qui les causes, alors non, ils ne me font pas peur. Mais ce serais amusant de crié au viol, juste pour que ce sois toi, l’accusé et moi la douce victime plaint de tout le monde. Oui, ce serais étrangement marrant, c’est à essayer un jour peut – être. Oui. –ricane doucement- SI j’aime me faire violer ? –la demoiselle se retourne vers Beccaline et fais tombé sa capuche- C’est sois moi qui les viols tes sois disant gens, ou alors ils viennent de leurs pleins grés me voir, pour que je le procure ce que toi et les autres, n’ont pas su faire. Contente, Beccaline ? » Sa mèche devant son œil gauche, et l’œil droit découvert, elle fixe Beccaline, les mains dans ses poches, le regard froid et précis. Ne laissant passer aucune émotion qui puisse exister. Que ce sois de l’amitié, ou de la haine. Rien, elle étais triste, et ça, ça se répercuterais sur la soirée, c’est sur et certain. Ou alors, elle fera comme de rien n’était et souffrirais comme les jours suivants, en silence, seule, comme une hermite vieille et conne. C’est tout aussi probable en faite. Mais ça, personne n’en a rien à faire, et c’est pourquoi Esha est si froide et distante avec les gens. C’est tout simplement parce que les gens le sont tout aussi avec elle. Stupide vous ne trouvez pas ? Gamin oui. Les lèvres d’Esha s’entrouvrent mais se refermèrent un courant d’air faisant voler légèrement sa mèche ainsi que le reste de ses cheveux. « Que fais – tu ici, Beccaline ? Il se fait tard. Puis, nous sommes au port, il n’y a rien d’intéressant, non ? » Elle essaie d’être aimable, elle essaie du moins. C’est la seule chose qu’elle puisse faire à cette heure ci. Elles ne s’aimes surement pas tant que ça, mais il y a au moins dans leurs cœur respectifs, une ombre d’amitié l’une envers l’autre. Et à ce moment la, Esha le démontré bien en lui parlant calmement et sans aucun soupçons d’énervement. Esha dirigea son regard vers le sol, puis approcha au bord du quai, pour s’y assoir doucement, laissant se balader dans l’air, ses deux fines jambes. « Approche, même si j’en avais envie, je ne te balancerais pas dans l’eau. »

Ironie ? Non. Elle n’en avait nullement la force. Le fais de pensé à ce jour précis ne faisait que l’attrister de plus en plus. Pourtant, la brune essayer tant bien que mal a essayé de se changé les idées, mais rien n’y faisait. Les souvenirs de sa mère revenaient encore et encore à la surface, laissant apparaître sur le bord de ses yeux, une fines couche liquide ressemblant étrangement à de l’eau. A des larmes. Mais n’allez pas lui dire qu’elle pleure, la, elle vous frapperez. Quoique si allez y, ça la défoulera. Ok vous prendrais tout dans les dents, mais… c’est un bien pour un mal non ! Toi tu souffres en silence et ferme ta jolie petite gueule, et elle, elle rigole et se défoule sur ton corps bleuis et sanglant. Marrant, toutes ces pensées. A faire, un jour. Esha et sa mère était vraiment très proches. Tout comme une mère et une fille le serait. A ce dire de petits secrets, leurs petites amourettes, leurs petites disputes amicales, ou non. Toutes ces petites choses qu’une mère et une fille font ensemble, ça lui manque. Ca lui manqué atrocement. Les disputes qu’elle avait avec son père aussi lui manque. Mais lui, son dixième anniversaire de décès, c’était il y a deux mois. Autant vous dires, qu’une surcharge de douleur la comble. Cela crée un trou dans votre cœur, un vide, une blessure si grande, que personne ne pourras la guérir, que jamais ne pourras se refermer. Mais dans ces moments la. Personne n’est la pour vous. Alors vous souffrez en silence, seule dans votre coin, et cela fais que vous devais associable et détestable aux yeux de tous. Esha déplaça sa main sur le côté pour saisir entre ses doigts un joli galet, le serrait très fortement, puis-elle se leva doucement vers un groupe de jeune qui les regardaient. Leurs jetant à la gueule ce pauvre caillou. « Oh les couilles molles, un souci peut – être ? »

« Je peux aisément te retourner le compliment Mademoiselle-Jte-Prend-Jte-Plaque, » Elle avais pas totalement faux sur le Mademoiselle-Jte-Prend-Jte-Plaque. Mais elle n'argumenterais pas ces dires, pas cette fois ci. Cela n'aurais servie à rien de bon, pour elle, et pour Esha. Elle leva les yeux vers Beccaline qui s'était levé derrière elle, pour faire je ne sais trop quoi, puis la demoiselle baissa lentement la tête vers le bas, soupirant, le regard perdue dans l'eau bleuâtre. Les vagues s'accélérait de plus en plus, et le ciel se couvrait à son tour. Sans doute un probable orage qui se prépare, ou alors, juste une simple averse. Ça ne l'a dérangée pas, au contraire, elle pourrait du moins essayé de caché ses larmes avec celle déversées par le ciel, les gens n'y aurais vus que du feu. Mais non, c'est pas cool devant Beccaline. Et puis, quand on pleure, les joues rougissent, la voix sature, et la respiration s'accélère, alors tout le monde comprendrais ce qu'elle a. Non. C'était vraiment trop risqué de ce laissé aller, dans un moment pareil. Devant quelqu'un tel que Becca. Elle n'y étais pour rien, elle ..

« Je risque les eaux et leurs profondeurs abyssales en restant prés de toi ouais, dit Becca en la regardant avec insistance au dessus d'elle, et bien d'autres chose aussi. Après ... si tu fais référence à une histoire de gang ou de rivalité, des problèmes extérieurs en clair, je comprends mieux oui. » Elle avais aussi raison, la. En restant avec Esha qui est dans un sale était moral, dans un coup de folie Esha aurais pu la faire tombé dans l'eau glaciale, qui l'aurais très certainement emporté loin du large; Mais le risque étant qu'elle aussi, elle tombe avec elle. Trop risqué, puis bon, pourquoi faire ça à ce petit bout de femme, hein ? L'histoire des gangs qui se détestent tiens parfaitement debout. Si un membre d'un de ces derniers, les voyais toute les deux, ensemble, en parlant en toute amitié, se serais pas cool du tout les elles. Elles risqueraient gros. Deux membres d'un clan adverse, ne peuvent s'entendre, c'est normal, c'est logique, c'est comme ça. « Sauf si je te fais tomber à l'eau. Arrête de la fixer avec envie, elle risquerait de bouillir. Peut-être qu'elle a envie de te sentir elle aussi, de te profiter d'une Esha douce et agréable. On y fait un tour, finit-elle par chuchoter, sauf si ça aggraverait le danger que présente la situation.»

Esha sourit, et lui répondu, doucement sourire aux lèvres. « Je risquerais pas de te tué en te jetant à l'eau, je pourrait tombé à avec toi, je sais que tu me tireras avec toi, et c'est pas super marrant, vus la froideur de l'eau. Les baignades nocturnes, c'est pas mon truc. Puis, les gangs. Si quelqu'un nous voient ainsi, on risque gros. Très gros. Puis dis moi, je fixe qui je veux, humph. » Elle ferma les yeux un court moment puis enleva ses chaussures souriant de dos, à Beccaline, pour voir sa réaction. « Puis bon elle ne peux pas être si froide que ça. Jetons nous à l'eau. » Cela n'aurais pu lui faire que du bien. Oublié le présent rien qu'un instant, tout oublié. Exactement tout, ne rien laissé de travers, ne rien laissé vous perturber. Et vous laissez porté par les douces vagues, qui vous emmènerais je ne sais ou. Cela aurais étais marrant. Distrayant même. Elle sentie alors son buste se rapprochez de ses cuisses, et perdue son sourire, qui se transforma en un rictus, désagréable. Beccaline étais alors penché sur elle, allongé sur son dos, sur son katana. En parlant de katana, il étais évidement que Beccaline le sentais, il étais minutieusement disposé dans son dos, mais il étais assez .. facile à sentir. « Tu vas finir par me tué, Beccaline. » Un rire s'échappa d'entre ses lèvres, mais ne dura qu'un court instant, commençant à manqué d'air. Sa tête, quasiment sur ses genoux. « Non pas que tu sois lourde, mais, humph, tu m'écrases légèrement. » Elle mentais. Ou pas. Esha apprécié bien Beccaline, mais le montré serais assez dangereux pour elle, alors, elle ne sont complice comme ça, que quand elle se retrouve seules, sans personnes pour les épier, ou autre.

Elle voulais joué. Rien qu'un instant. Alors Esha leva doucement son postérieur comme pour faire glissé Beccaline vers l'avant pour la « jeter dans l'eau » sans vraiment le faire. Comment allez – tel réagir. Bien ? Mal ? En rigolant ? En se jetant elle – même dans l'eau ? Allez savoir.